Mon "scrapbook", tout simplement

Australie 1

Voyage en Nouvelle-Zélande et Australie (5)

20 janvier au 16 mars 2016
Textes et photos de Louise Lachance
Édition de Jean-François Bouchard

26 février

Départ à 13h avec Air New Zealand à destination de Sydney en Australie. Durée du vol 3h30, mais nous arrivons à 14h35 à cause des 2 heures de décalage.

À l’aéroport nous achetons une carte SIM pour le cellulaire et prenons possession de notre nouvelle auto, une Hyundai I20 blanche. Un peu plus d’espace à l’intérieur que la VW de Nouvelle-Zélande mais moins luxueuse. En plus le moteur tire de la patte. Enfin !

Nous nous rendons chez Tony et Jenny dans le quartier branché de Coogee à Sydney. C’est tout près de la mer et de plusieurs belles plages. Arrivée chez eux à 17h30. Jean-François avait connu Tony lors d’un voyage au Népal. Ils sont tous les deux accueillants et sympathiques. Après une douche et une bière nous partons marcher le long de la mer. Les vagues sont grosses et s’abattent sur la côte avec force. Ensuite nous allons souper dans un restaurant à spécialité australiennes qui se trouve sur le bord de la mer. Il fait beau et chaud. D’ailleurs ils ont battus des records de chaleur cette semaine 40°C hier. La vue est magnifique et le bruit de l’eau nous charme. Au menu: huîtres, calmars, crevettes géantes, kangourou et corn beef. Souper copieux accompagné de vin. Malgré cela au retour nous mangeons une crème glacée, suivi d’un muscat à l’arrivée à la maison.

Nous nous couchons à 10h30 mais pour nous il est 00h30.

Sydney me fait penser à la Californie du sud:océan, plage et tout le monde dehors. De beaux gars et de belles filles courent sur la promenade au bord de l’eau en maillots de course à la mode. Il y a aussi beaucoup d’arbres avec des fleurs, dont le frangipanier qui sent très bon.

P.S. Dans le domaine de la nourriture, il faut noter que nous avions apporté notre lunch dans l’avion, car Jean-François avait vu qu’ils ne servaient pas de repas. Mais surprise juste après que nous ayons fini notre lunch, ils annoncent que le dîner sera servi sous peu. Jean-François a tout mangé mais moi la ½ environ. Ouf que de nourriture dans une même journée…

27 février

Malgré les nuages, il fait très chaud et humide. Après le lever à 07h30 nous prenons le café sur la terrasse, suivi du déjeuner. Ensuite départ pour la plage pour nous baigner. Tout d’abord une marche sur une promenade le long des falaises, pour arriver à Clovelly Beach. Les vagues sont grosses et pour nous permettre de se.baigner en toute sécurité, ils ont encadré la baie (qui est profonde et étroite), ça fait comme une piscine à vagues. J’y ai pris grand plaisir et Tony a dû venir me dire de sortir, parce qu’il était temps de partir. Le temps passait très vite, nous voulions être partis pour midi. Donc pas de rando aujourd’hui, nous l’avons remplacé par la plage. Tony prend plaisir à me parler des animaux dangereux en Australie, ex: araignées, serpents, requins etc.

Donc départ à midi de Sydney pour Greenwell Point, là où nous avons réservé une chambre. La ville de Sydney s’étend sur 90 kilomètres de long, c’est long avant de pouvoir en sortir, et il y a beaucoup de circulation.Nous dînons sur le bord d’une baie près de la route. Il y a beaucoup de pêcheurs et de bateaux sur l’eau. Arrivée à Greenwell Point à 17h. Petit village au fond d’une baie fermée. Beau motel très propre, Anchor Bay Motel pour une nuit. Lavage et préparation de nos bagages pour être plus fonctionnels. Souper en écoutant une émission radio de Claude Saucier en reprise sur Internet. Au coucher du soleil, une grande troupe de cacatoès fait tout un boucan. Heureusement ils cessent à la noirceur. Aujourd’hui nous avons aussi vu beaucoup de pélicans.

28 février

3h10 de route, entre Greenwell Point et Canberra (la capitale). Sur la route rien de spécial, beaucoup d’arbres. Arrivée à l’auberge de jeunesse à 13h45. Nous cherchions l’information touristique et nous sommes tombés par hasard sur l’auberge de jeunesse. Nous y passerons une nuit. Nous avons une grande chambre pouvant recevoir 6 personnes, avec salle de bain privée et air climatisé; la cuisine est commune.

Après avoir trouvé l’épicerie, nous partons explorer la ville. Elle est particulière avec son grand lac au milieu, un centre-ville hexagonal, le parlement et les édifices officiels de l’autre côté du lac. Il y a de grands parcs à profusion, mais c’est une ville sans vie. Il faut dire que nous sommes dimanche et qu’il fait 30°C. Il y a beaucoup d’oiseaux dans les parcs: des perroquets à ventre rouge, des ibis, des cacatoès, et des oiseaux gros comme des pigeons mais noirs et blancs. Nous avons marché jusqu’au parlement à partir du centre-ville et en chemin nous avons assisté à une partie de croquet. Nous ne sommes pas arrivés à en comprendre les règles. Le parlement est sur une colline et en ligne droite on peut voir le Mémorial de guerre à environ 5 kilomètres de distance. Ça fait penser à Paris, à la longue vue directe des Champs Élysées reliant l’Arc de triomphe et le Louvre. Nous n’avons pas pu visiter le parlement, car nous sommes arrivés à la fermeture. Les nombreuses ambassades sont près du parlement et entourés de végétation et fleurs. C’est chic.

Retour à l’auberge de jeunesse en longeant le lac. Il est 18h30 et nous souperons à la salle commune.

29 février

Nous devons partir avant 08h30 de Canberra à cause du stationnement. Nous prenons la route et arrivons à Jindabyne un peu avant midi. La ville est petite, en fait c’est une ville créée pour les besoins de construction des barrages hydro-électriques de la région, qui répond surtout maintenant au besoins des skieurs en hiver. L’été c’est beaucoup plus tranquille. Après s’être installés à l’hôtel The Ski Inn pour deux nuits, nous sommes allés dîner au bord du lac, créé artificiellement par un barrage. Ils ont besoin de cette eau pour la production d’électricité et aussi pour la gestion de l’eau de cette région. La partie de l’Australie que nous visiterons est la seule où il pleut régulièrement. Le reste du pays manque d’eau, alors ils la gèrent le mieux possible pour accommoder tout le monde.

Après le dîner, période de lecture dans un parc, puis marche le long du lac et retour par la ville. Petite journée tranquille, ça fait du bien. La chaleur qu’il fait depuis notre arrivée en Australie nous ralentit un peu. Il fait autour de 30°C; nous n’y sommes pas habitués.

Il n’y a pas de possibilité de cuisiner ici, car c’est un hôtel. Il y a bien peu de restaurants ouverts en ville, puisque c’est la saison morte. L’option la plus intéressante en ce début de semaine est le Jindabyne Bowling & Sports Club. C’est un club privé où il a fallu s’inscrire pour pouvoir y souper. Le chef est Français; nous avons pu bavarder un peu avec lui. On choisit une viande au menu et on complète avec le bar à salade et légumes. Il y a un grand choix et c’est très bon. Il paraît que les clubs privés en Australie c’est important et bien encadré.

Depuis notre arrivée en Australie nous cherchons à voir des kangourous. À part les nombreux individus morts sur le bord de la route, nous n’en avons pas encore vu. L’hôtelier nous dit qu’il y en a toujours dans le champs à côté de l’hôtel, ainsi que des émeus. Malgré le fait que nous ayons regardé à plusieurs reprises à cet endroit, nous n’avons vu que deux kangourous courir assez loin de nous. Meilleure chance la prochaine fois.

01 mars

La randonnée aujourd’hui, c’est l’ascension du plus haut sommet d’Australie, le mont Kosciuszko (2,228 mètres), que nous aborderons depuis Charlotte Pass. Lever hâtif. En montant dans le parc ce matin nous avons vu 2 wallabys et 3 kangourous. Départ du sentier à 9h. Temps prévu 6 heures aller-retour. Le ciel est bleu et la lune encore visible nous accompagne. C’est un paysage de roche et de vent. Le sentier est carrossable en bonne partie en 4×4, donc facile. Nous ferons l’aller en 2h25. Comme nous étions en haute montagne aujourd’hui nous n’avons pas souffert de la chaleur, il ne faisait que 22°C au sommet.

En chemin nous croisons une cabane de pierre, la Seaman’s Hut. Elle a été construite suite à la mort de deux skieurs qui ont péri à cause du froid, au cours de l’hiver de 1928. Ils n’avaient pas d’endroit où s’abriter. La famille de Laurie Seaman a donné l’argent nécessaire pour construire cette cabane afin d’éviter d’autres drames. Belle vieille cabane rustique, j’adore.

Il n’y a pas beaucoup de monde sur la sentier jusqu’à ce qu’on croise, presque rendu au sommet, des gens qui étaient montés en téléphérique depuis Thredbo, un village sur un autre versant de la montagne. En effet c’est un endroit pour le ski, il y a donc des remontes pentes à profusion dans la région.

Nous dînons au sommet, le soleil est bon mais le vent très présent. Il y a un retour alternatif par une crête mais le trajet prend 1h30 de plus. Jean-François la fera mais moi je serai sage et reviendrai par le même chemin qu’à la montée. Je sais par expérience que je peux faire 8 heures de marche en une journée, mais que 6 heures ça m’est beaucoup plus agréable. Retour tranquille pour moi en chantant (je suis seule).

J’attends Jean-François durant 2 heures en lisant et en découvrant Charlotte Pass, qui offre un beau point de vue. Très belle randonnée ce sont des paysages différents de ce que l’on a vu jusqu’à maintenant.

Souper au même endroit qu’hier.

02 mars

Départ de Jindabyne pour nous rendre jusqu’à Metung. La route est longue, 4h30 et peu de villages à traverser. D’abord des plaines avec des coteaux desséchées, puis la forêt avec de grands eucalyptus. Ces arbres perdent leurs feuilles et leur écorce continuellement, ce qui en fait une forêt malpropre. Par contre ça sent bon, un peu poivré et un peu sucré. Un arrêt pour dîner à Cann River, petit village, là où l’on tourne vers l’ouest. Il y fait très chaud.

Arrivée à Metung vers 15h. C’est là que nous a donné rendez-vous Rosemary Livingston. Elle était venue chez nous à Québec, il y a deux ans. Comme nous savons qu’elle est partie en bateau avec son chum Roger et des amis, nous prenons le temps de lire dans un parc et de manger une crème glacée. Ce village est situé sur le bord d’une baie protégée et la qualité des habitations nous fait dire qu’il y a de la richesse ici.

Rosemary nous rejoint par téléphone et nous la retrouvons dans une maison de belle qualité. Située sur une bande de terre, il y a devant la maison de l’eau et une petite route et derrière encore l’eau avec un quai privé. Très grande maison avec 4 chambres, 1 salon, 1 cuisinette, 3 salles de bain et un bureau. Et tout ceci pour les invités car les propriétaires Ellen et Robert habitent l’étage supérieur. Nous rencontrons des gens charmants et cultivés. D’abord Rosemary et Roger, puis Sandra et Otto, ensuite Diane et Steven. Ellen se joindra à nous mais Robert sera de retour seulement le lendemain matin car il complétait la traversée du détroit de Bass (entre la Tasmanie et le continent) et le mauvais temps l’avait retardé. Ce sont tous des amis d’enfance avec leurs conjoints. Ils ont vécu leur jeunesse dans la ville de Sale.

Nous prendrons d’abord un apéro sur la terrasse au bord de l’eau. Puis un souper BBQ dans la grande salle à manger à l’étage. Poulet, agneau, patates et salades sont au menu, suivi d’un gâteau aux carottes. Bien sûr le tout avec du vin en abondance. Fait cocasse toutes ces personnes mangeaient avec la fourchette les pointes vers le bas. Il paraît que c’est une habitude très British. Nous avons durant le souper un coucher de soleil splendide.

Coucher à 22h30. On nous avait alloué une grande chambre avec lit king et une salle de bain privée. Vive les vacances et les rencontres.

P.S. Il continue de faire beau et chaud, 30-35°C le jour. Heureusement il y a la mer et la montagne pour nous rafraîchir un peu.

03 mars

Levés à 08h nous partons déjeuner dans un café au village. Il y a Sandra, Otto, Rosemary, Roger et nous. À la fin du déjeuner Sandra et Otto nous offrent d’occuper leur maison de Melbourne lorsque nous y serons, samedi et dimanche prochain. Surpris et un peu gênés, nous acceptons. Sandra nous remet les clés et donne ses instructions, car eux ne seront pas là. C’est très généreux de leur part. Après une visite du bateau loué de Roger nous allons rencontré Robert qui vient d’arriver. Personne sympathique, il jase beaucoup avec Jean-François de Nouvelle-Guinée, où ils ont séjourné tous les deux.

Vers 10h nous partons, Rosemary dans son auto et nous dans la nôtre. Nous irons passer deux nuits chez elle. Roger et les autres restent profiter du bateau et des lieux jusqu’à samedi. Quant à Rosemary elle doit retourner chez elle car elle a un rendez-vous vendredi matin.

Nous nous suivrons tout au long du trajet. Nous ferons plusieurs arrêts, Rosemary veut nous faire voir plusieurs petites choses qu’elle aime dans son coin de pays. Entre autre un magasin turc où je me laisserai tenter par une lampe identique à celles que j’avais vues lors de mon voyage là-bas mais que je n’avais pas acheté.

Arrivée à Fish Creek chez Rosemary vers 17h alors que le trajet sans arrêt est de 3h (Nous avons fait plusieurs arrêts). Sa maison est en pleine campagne, haut sur une colline. La vue est superbe, on voit la mer. Par contre le vent du sud est très présent. Heureusement comme il fait chaud, ça fait du bien. Sa maison est moderne avec de grandes fenêtres qui permettent la vue sur la mer. Nous coucherons dans un studio confortable en haut de l’abri d’auto. C’est joli, nous y sommes à l’aise. Jean-François fera le souper, une frittata avec des légumes du jardin.

04 mars

Après déjeuner nous partons vers “The Prom” (Wilsons Promotory National Park). C’est une pointe rocheuse qui s’avance dans la mer. Il y a des dunes de sable où la végétation s’est installée. Il y a aussi des montagnes qui semblent être faites de grosses roches empilées. Nous marcherons dans le sentier de Darby Saddles jusqu’à Darby Beach en passant par The Tongue. Nous laissons l’auto à Darby Beach et faisons du pouce jusqu’à Darby Saddles. En moins d’une minute nous embarquons avec un couple de notre âge qui nous laisse environ 7 kilomètres plus loin, à Darby Saddles.

La première partie de trajet est dans une forêt en regénération car il y a eu un feu en 2009. Les plus gros eucalyptus ont survécu; l’écorce est noire avec des traces de sève rouge séchée, mais ils ont des feuilles. Nous faisons un 500 mètres supplémentaire, pour un point de vue sur la péninsule, la mer, les plages de sable et les îles. Nous aurons sur notre chemin, un autre point de vue un peu plus loin, encore plus beau. Nous atteignons The Tongue, comme le nom le dit, c’est une langue de terre qui s’avance dans la mer. Le point de vue est superbe et en plus il y a un bon vent qui fait du bien. Il fait très chaud, 34°C. et depuis notre descente de la montagne, nous sommes et serons en plein soleil. Durée de la rando 3h30. Nous avons pris notre temps pour regarder les oiseaux, les lézards, les arbres et le paysage.

Revenu à l’auto nous prenons la décision de ne pas faire l’autre rando planifiée, il fait trop chaud. Nous irons plutôt à Tidal River là où nous dînerons sur une grosse roche à l’ombre, avec vue sur la rivière, la plage et la mer. Ce sera suivi d’une marche dans l’eau chaude de la rivière et la sable fin. Pour terminer une baignade dans la mer. C’est dur la vie de vacanciers.

Retour à Fish Creek chez Rosemary pour un apéro, vin, chips, fromage et olives, suivi d’une douche bienfaisante et d’un souper cuisiné par Jean-François. Ce sera un mélange de légumes avec un peu de viande et du riz. Coucher à 22h30.

05 mars

Ce matin c’est un drôle de climat. Nous croyons que c’est de la brume de chaleur, mais non ça s’est poursuivi toute la journée. Rosemary dit que c’est comme un temps d’automne. Il fait tout de même 19°C à Fish Creek et 25°C à Melbourne.

Donc départ de chez Rosemary vers 10h et faisons un court arrêt au village de Fish Creek rencontrer Sandra et Otto qui nous prêtent leur maison. Nous discutons un peu en visitant une galerie d’art, le dada de Rosemary.

Les paysages sur la route sont faits de champs et de collines où l’herbe est sèche et jaune. Nous voyons peu les maisons de ferme, car elles sont loin de la route. Les chemins secondaires sont souvent en terre et les gens ont des 4×4. La densité des voitures augmente à l’approche de Cranbourne. Nous nous y arrêterons visiter le Jardin botanique australien qui regroupe la végétation typique du pays. Très beau, il est bien aménagé avec des plantes indigènes. Nous y passons à peu près 2 heures et dînons à la cantine. Il y a aussi une exposition temporaire de tissus que nous visitons. Il y a beaucoup de belles courtepointes. J’y achèterai un beau collier vert.

Nous arrivons à 17h chez Sandra et Otto. Ils habitent le quartier de Fitzroy et ça me fait penser au plateau Mont-Royal à Montréal. La maison sur deux étages est ancienne, mais richement aménagée. Nous aurons un peu de difficulté à trouver le permis de stationnement qui nous permet de rester dans la rue (il était chez un voisin), mais autrement tout va bien. Nous nous installons et sortons pour souper. Sur la rue principale du quartier beaucoup de restos et de bars. Beaucoup de jeunes aussi habillés pour sortir, nous sommes samedi soir. Nous choisirons un resto chinois.

06 mars

Belle journée à visiter Melbourne. Ni trop chaud ni trop froid, 25°C. Comme à chaque visite de ville nous avons beaucoup marché. Il y a un tram gratuit qui fait le tour du centre-ville. On peut arrêter où l’on veut et le reprendre quand on veut. Nous l’avons utilisé dès que nous avons pu.

Il y a plusieurs édifices en hauteur, beaucoup d’asiatiques partout dans la ville et de nombreux grands parcs.

Devant le musée de Melbourne nous avons vue un cours de danse de type Antillais, exotique. Nous avons visité le parlement, la bibliothèque, l’église St- Patrick et la gare. Le parlement de par sa constitution ressemble au nôtre. La bibliothèque m’a particulièrement plu à cause de sa grande salle d’étude qui a conservé son cachet ancien. De longues tables de bois disposées en pattes d’araignées, le centre étant un bureau de surveillant. Les chaises étaient d’anciennes chaises de professeurs. C’était bien éclairé par un superbe dôme. L’église St-Patrick nous a surpris surtout pour ses jardins extérieurs avec un bassin d’eau qui permet d’écouter l’eau couler. Petit oasis au centre-ville. Quant à la gare elle est bien belle de l’extérieur mais l’intérieur est ordinaire.

Nous avons aussi marché sur les quais là où les édifices de luxes poussent à vue d’œil. Sur Olympic Boulevard, il y a plusieurs complexes de sports, dont celui du tennis, où se tient l’Open d’Australie. Il y a aussi un grand stade de cricket et au moins deux autres arénas.

Nous avons soupé dans un restaurant de nouilles du Sechouan. C’est une soupe avec beaucoup d’ingrédients dedans. Jean-François a pris très piquant. Il dira à la fin du repas qu’il en a eu pour son argent. Après le repas, nous avons écouté des artistes de rue jouer du jazz. Retour à la maison à 21h.

Je ne le crois pas moi-même, mais j’ai dit que je me sens bien dans cette ville. Le centre-ville a des rues et des trottoirs larges, ça la rend plus aéré. Je l’ai bien aimée.

Suite à la seconde page…